Tout d’abord, je crois que nous ne devons absolument pas instaurer un système d’évaluation des professeurs sur leur rendement pour ensuite les récompenser avec des primes salariales. Cela amènerait plusieurs injustices sociales dans notre système d’éducation au Québec. Comme par exemple (pléo. --> on choisit l'un ou l'autre), les professeurs qui enseignent dans des milieux défavorisés seraient désavantagés(,) car ils devraient toujours composer avec des élèves qui peuvent parfois avoir des difficultés académiques. Ces professeurs seraient en constantes compétitions inégales avec les professeurs des milieux plus favorisés. Ce phénomène entrainerait inévitablement une iniquité salariale entre les professeurs et leur milieu de travail (en fonction de leur milieu de travail). Il y aurait donc une moins grande proportion d’enseignants qui se dirigeraient dans ces milieux difficiles.

Par la suite, je pense aussi qu’il est primordial de ne pas instaurer ce système dans nos écoles parce que cela pourrait amener des situations délicates comme du chantage entre les professeurs et les élèves. Imaginez qu’un élève puisse faire des menaces a son enseignant pour obtenir certains privilèges sinon il baisserait(, à défaut de quoi, il travaillerait à abaisser) la cote de la classe volontairement par tous les moyens. Cette situation serait inacceptable(,) car cela pourrait placer les élèves en situation de force sur leurs (par rapport aux) enseignants.

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Super texte.  Toute la structure est impeccable.  Les marqueurs sont là.  Les arguments sont suivis d'explications et de justifications.  Il n'y a que très peu de fautes de grammaire, aucune faute d'usage.

Que dire sinon bravo!

Félix A.

Vendredi 30 mars, 14h00.

Pas de conclusion à corriger.

Félix A.